S’engager en politique comme militant et/ou mandataire est quelque chose d’aussi courageux qu’indispensable aujourd’hui. Mais, pour moi, les défis sont tels (dérèglement climatique, montée des extrémismes en Europe, basculement de nombreuses classes moyennes dans la précarité, pénurie de plus en plus prégnante dans le monde du travail…) qu’il me semble impossible de ne pas tenter d’agir, prendre ma part de responsabilités, au niveau local. C’est ce que je fais maintenant depuis quelques années et c’est ce que je compte, avec la confiance des tournaisiens, continuer à faire . Pour moi, Ecolo est le parti qui cerne le mieux les défis que notre société doit relever. Ecolo met véritablement le citoyen au cœur de ses préoccupations en recréant de la cohésion et en tentant toujours, en équipe, de privilégier l’intérêt collectif au détriment des intérêts individuels.

Au niveau local, dans le cadre de mon mandat, j’ai énormément travaillé à augmenter la liberté des uns et des autres à faire le choix d’une mobilité plurielle en retravaillant à un meilleur partage de l’espace public. Redessiner notre ville en gardant des politiques de mobilité réfléchies, c’est travailler :
- à renforcer la liberté des différents usagers ;
- à améliorer la qualité de l’air dans nos villes et la sécurité dans nos déplacements ;
- à améliorer la mobilité de nos ainés (toujours plus nombreux) et des PMR
- à recréer de la cohésion sociale ;
- à garder une dynamique commerciale attractive (la paralysie étant le pire)
- …

En ce qui concerne notre enseignement tournaisien, je l’ai accompagné du mieux possible dans ses nombreux défis et ceux-ci étaient (et sont) nombreux. Il s’agit-là, pour moi, d’une compétence scabinale exaltante et prioritaire.